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EmmyBovara

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Everything posted by EmmyBovara

  1. Merci de vos réponses. Je sais que ça se soigne bien, mais je panique vite dès qu'il s'agit de ma santé. J'ai essayé de prendre ma tension tout à l'heure: j'étais calme et détendue. Dès que j'ai mis l'appareil à mon poignet, j'ai commencé à trembler et à sentir mon coeur s'emballer. Évidemment, les résultats étaient trop hauts, encore. Ça va être sympa, l'avenir, si je commence à faire des crises dès qu'un médecin s'approche de moi Je dois voir ma généraliste et lui en parlerai. En attendant, je vais essayer de penser à autre chose…
  2. Bonjour à toutes, Je me réjouissais il y a quelques semaines que ma tension ait pas mal baissé depuis que j'ai changé de travail: j'étais jusqu'à samedi dernier entre 10/6 et 12/8. Rendez-vous lundi soir chez le cardiologue, pour une surveillance de routine - le dernier rdv remontait à il y a cinq ans. Et là, allez savoir pourquoi, crise de panique dans son cabinet: tachycardie et tension à 17/10. Je lui ai certifié que chez moi tout était normal, mais j'ai tout de même une batterie d'examens (épreuve d'effort, holter tensionnel, polygraphie du sommeil). Et le problème est que depuis, ma tension ne redescend pas. Je suis à 14/9 depuis lundi. Et évidemment, vu mon tempérament, j'angoisse. Je suis, de façon générale, prise de pics d'anxiété à chaque visite chez un spécialiste (ophtalmo, cardiologue, diabéto). Je n'ai pas de surpoids, fais du sport quatre heures par semaine et une heure de marche par jour, je fais du yoga, je mange peu salé; je ne vois pas ce que je peux faire de mieux! Je prends déjà un traitement oral contre le diabète, et je n'ai pas envie d'un autre contre l'hypertension (d'autant que les effets secondaires n'ont pas l'air sympa). J'ai 45 ans et me trouve un peu jeune pour ça. Bref, j'arrête de pleurnicher. Vous aussi, vous êtes confrontées à ça?
  3. Merci de votre réponse! J'ai patienté les trois mois réglementaires et ai fait vérifier mon Hb: comme je m'y attendais, elle a monté (6,7%). J'ai appelé ma diabéto, qui est en vacances, donc je lui ai laissé un mail. Et ma généraliste, vue cet après-midi, m'a proposé de rajouter une dose de metformine 1000, histoire d'être à la dose max par jour. J'imagine que ça va améliorer l'ensemble: autant je réagissais bien à la metformine, autant l'autre composant de l'Eucréas n'est pas efficace sur moi. Ou alors mon pancréas est en bout de course? Je verrai avec ma diabéto quand elle me rappellera.
  4. Un remplaçant de ma généraliste m'avait dit ça, il y a déjà dix ans, que quelques doses d'insuline seraient plus profitables que des molécules qui allaient fatiguer mon pancréas. En fait mon pancréas fait le boulot, mais mes cellules ne réagissent pas toujours à l'insuline. Je fais beaucoup d'activité physique, mais curieusement pendant le premier confinement, quand tout était interdit et que je ne bougeais pas, mes glycémies étaient plutôt basses et j'ai eu une hb bien meilleure qu'en temps normal. Alors je ne sais pas trop pourquoi je me donne autant de mal, parfois. Peut-être parce que mon corps et mon esprit ont besoin de ce niveau de dépense? En fonction des résultats, je rediscuterai avec ma généraliste et ensuite ma diabéto, voir s'il n'y a pas d'autre traitement.
  5. Merci de vos réponses, qui me montrent que je ne suis pas seule dans ce cas Je crois que j'ai du mal à accepter la "nouvelle version" de mon diabète. Pendant très longtemps, j'avais des taux de personne "normale" sans faire d'efforts démesurés. Et depuis deux ans, malgré une hygiène de vie contrôlée, ça ne réagit plus aussi bien et je vois mes glycémies monter sans rien faire. J'attendais aussi beaucoup de ce traitement plus fort; je pensais que mes glycémies baisseraient visiblement - or, rien de visible. Je verrai avec les HbA1c… En fait il faut que je fasse le deuil de ma vie d'avant, quand j'étais diabétique sur le papier mais que dans les faits je ne l'étais pas. Je n'avais pas pris conscience de ça avant d'échanger avec vous: merci
  6. Bonjour à toutes, Je profite de ce fil pour m'épancher - désolée, mais ça fait du bien de temps en temps. Voilà le tableau: diabétique diagnostiquée il y a tout juste trente ans. C'est un MODY qui, jusqu'à présent, réagissait bien à la metformine. Je ne peux pas dire que j'ai eu énormément de mal à l'accepter: c'est assez contraignant au niveau de l'alimentation (quand on est ado, on a envie de boire du coca et de manger n'importe quoi n'importe quand), mais je m'y suis assez vite faite. Aujourd'hui je ne me considère pas au régime; j'ai la chance d'être assez peu gourmande et pas plus attirée que ça par le sucre. Et je ne suis pas à l'insuline, donc c'est assez léger. Mais depuis deux ans, mon diabète évolue. Mes glycémies montent. Bon, rien d'affolant: 1.20 à jeun, entre 1.40 et 1.80 en PP et autour de 1.10 avant le repas. Mais ce n'est pas "normal", et surtout pas raccord avec mon alimentation et mon activité. Pareil, mon hémoglobine glyquée est autour de 6.5%, parfois 6.6. J'essaie de faire du mieux que je peux: alimentation contrôlée, sport très régulier (6h/semaine, plus les 30 minutes quotidiennes de marche rapide). Mais ça ne change rien. Mes glycémies ne baissent pas, et ne sont pas toujours cohérentes avec mon activité. Ma diabéto, en qui j'ai toute confiance, m'a dit lors du dernier rendez-vous, je cite, "on va se détendre! Faire du sport c'est bien, mais il faut vivre aussi. Je vais vous augmenter votre traitement". J'étais ravie de retrouver un peu de souplesse. Mais ça ne fonctionne pas, apparemment. Je ne vois aucune évolution depuis trois mois - bon, je sais, il faut attendre les résultats de l'HbA1c -, et je me demande pourquoi avoir un traitement "plus fort", qui à terme va m'épuiser le pancréas, si c'est pour qu'il soit moins efficace que ma bonne vieille met'. Je fais toujours autant de sport et me flagelle toujours autant au moindre écart et à la moindre glycémie un peu haute. En fait je vis ça très mal de n'avoir pas la maîtrise de mes glycémies. Pendant longtemps, mon diabète a été plutôt sympa avec moi. Et depuis deux ans, l'âge venant, il commence à être moins facile à gérer. J'ai un sentiment d'impuissance, de ne pas parvenir à agir sur mon corps, de ne rien maîtriser. Et c'est très désagréable, voire un peu déprimant parfois. J'ai bien conscience que mon type de diabète est assez anodin comparé au DID, et que je me plains pour rien, mais quand même. Je n'ai aucun endroit où le dire: hors de question d'inquiéter ma famille avec mes noeuds au cerveau. Vous l'avez vous aussi, ce sentiment de ne pas avoir la main? Et comment le gérez-vous?
  7. Bonjour, Je suis diabétique Mody, Mody 3 probablement, depuis au moins trente ans (date du dépistage). J'ai jusqu'ici été stabilisée par de la metformine, 3g/ jour, et les règles d'activité et de diététique courantes. Depuis quelques années, mon Hb augmente, alors que je ne fais pas d'excès alimentaires et que je pratique du sport très régulièrement. Quand j'ai vu ma diabéto, en juin, je lui ai demandé de me donner un traitement plus fort, puisque malgré des efforts considérables je suis un peu au-dessus des objectifs glycémiques qu'elle m'avait fixés. Elle m'a donc prescrit de l'Eucréas 50mg/1000mg 2/jour. J'ai changé de traitement il y a deux mois et je ne vois, justement, aucun changement. Ce n'est ni mieux ni pire; moi qui m'attendais à une baisse notable de mes glycémies, je ne vois rien de rien. Mes taux sont exactement les mêmes qu'avant. Et je fais toujours attention à ce que je mange, et je fais toujours au moins six heures de sport par semaine. Ma généraliste est en vacances et ma diabétologue, si je la contacte maintenant, me dira qu'il faut attendre deux Hb pour se prononcer. Mais j'aimerais bien vos éclairages, même si je sais que mon type de diabète n'est pas le plus courant sur ce forum: est-il possible qu'un traitement "plus fort", "plus efficace", n'ait précisément aucune efficacité supérieure à la seule metformine? Autre question: y a-t-il une marge de manoeuvre avant l'insuline? Dernière question: des glycémies à 1,80 en pp et des Hb à 6.6%, est-ce dangereux à long terme? Je donne sans doute l'impression de me faire des noeuds au cerveau, mais je n'ai aucun pouvoir d'action sur ma glycémie, qui ne réagit ni à ce que je mange ni à ce que je fais, et j'ai du mal à lâcher prise et à accepter ce sentiment d'impuissance. Merci de vos retours!
  8. Bonjour, Je reviens donner quelques nouvelles après ma tournée des grands ducs: diététicienne et diabétologue. Pour la diététicienne, mon alimentation n'équilibrait pas assez les apports en glucides, parfois trop, parfois pas assez, et manquait de diversité, ce qui expliquait les pics glycémiques. Je suis ses recommandations, et j'avoue que c'est plutôt efficace - même si j'ai abandonné l'idée d'être végétarienne (trop d'apports glucidiques impossibles à absorber en l'absence de traitement autre que la metformine). Ma diabétologue a été très rassurante: pour elle tout va très bien! Si j'ai deux HbA1c consécutives au-dessus de 6,5 - 6,6, on verra à adapter mon traitement, mais elle ne s'affole pas du tout. Elle m'a parlé d'une molécule, l'inhibiteur de la DPP4, qui régule la glycémie sans provoquer d'hypo: ça me conviendrait assez bien. Elle m'a surtout dit de vivre normalement et de ne pas m'affamer. Je suis carrément rassurée!
  9. Bon, je suis partante alors Tu me diras la marche à suivre!
  10. Bonjour, Un Mody, ça ferait l'affaire? Ou c'est trop spécifique?
  11. Bonjour, J'ai un peu avancé la date de mon bilan sanguin: l'HbA1c est étonnamment bonne, à 6,4%, alors que je m'attendais à bien pire. J'ai vu ma généraliste hier et lui ai parlé de mes inquiétudes: pour elle, mes pics de glycémie redescendent très vite et sont régulés seuls avant d'avoir le temps de causer des dégâts. Je lui ai demandé comment éviter ces explosions glycémiques, et elle n'a pas de solution. En faisant du sport très régulièrement, comme ces jours-ci, ça se passe beaucoup mieux; elle m'a parlé d'insulinorésistance mais je n'ai pas tout saisi. Bref, je n'ai pas de quoi m'inquiéter d'après elle; j'ai rendez-vous avec une diététicienne pour un bilan le mois prochain et avec ma diabéto début juin. Et je compte bien sur la fin des restrictions pour pouvoir reprendre le sport sérieusement, puisqu'apparemment il n'y a que ça qui fonctionne dans mon cas.
  12. Quand j'ai été diagnostiquée en 1992, le diabéto qui me suivait m'a expliqué qu'on ne connaissait pas grand-chose à ce type de diabète. Celle que je vois depuis trois ou quatre ans est plus au fait - normal, il y a trente ans de recul. Ce qu'elle m'en dit, c'est qu'il est en général très peu évolutif, que je ne passerai probablement jamais à l'insuline, et que tous les mécanismes qui influent sur la glycémie des Mody n'ont pas encore été clairement identifiés. En d'autres termes, sport et régime, et hors de là point de salut. Par contre mon premier diabétologue m'avait décrit le Mody comme une résistance à l'insuline - mon pancréas produirait suffisamment d'insuline pour absorber les glucides, mais cette insuline n'aurait pas la "clé" pour pénétrer les cellules et agir, du moins c'est comme ça que je l'avais compris; ce que je lis maintenant me laisse penser que c'est une question de "réglage", qui fait que pour une dose donnée on produit moins. La question est donc: je fais quoi avec tout ça, moi? Avec mes glycémies qui sautent à 2,50 sans que je comprenne pourquoi ni comment ni que j'aie les moyens de les maîtriser? Question subsidiaire: quel rapport entretenez-vous avec votre diabétologue? Elle m'avait dit de lui passer un coup de fil (aaaah, joindre l'hôpital, tout un programme) ou de lui envoyer un mail si j'avais des inquiétudes, et bêtement, je n'ose pas. Et oui, j'ai lu ce journal: il y a des choses intéressantes, même s'il est un peu orienté bébés et que ce n'est pas ma problématique
  13. Merci pour ce message complet et éclairant! Je n'ai jamais envisagé la question des effets du gras sur l'absorption des glucides: j'en mange assez peu, et plutôt d'origine végétale. Ce que je ne m'explique pas, ce sont ces pics glycémiques en pp, qui reviennent à la normale tout seuls, et ne sont d'ailleurs pas systématiques. J'incrimine le manque d'activité physique, mais au printemps dernier je n'en faisais pas plus et rien ne bougeait - mais c'était l'an passé et j'avais sans doute encore les bénéfices de mes années sportives. Je n'ai aucun moyen d'agir sur ma glycémie ni de l'anticiper (un même repas peut avoir un effet ou son inverse), et c'est assez pénible au final. Mais déjà, revoir mes bases diététiques, déjà avec tous vos conseils puis avec un pro, ce ne sera pas du luxe!
  14. Merci de vos réponses. J'ai toujours mangé "ce que je voulais", dans les limites du raisonnable s'entend, sans bizarrerie glycémique, et maintenu un poids stable. Et là, ça ne fonctionne plus pour les glycémies. Alors j'essaie de voir sur quels points je peux agir… Je vais déjà en discuter avec ma généraliste, que je verrai d'ici deux semaines, pour voir si elle peut me conseiller quelqu'un. Et je poserai la même question à ma diabétologue, que je vois début juin. En attendant, je vais essayer de manger plus de protéines, et faire du vélo d'appartement, ce sera déjà mieux que rien.
  15. Merci Françoise de ta réponse, qui confirme ce que je ressens depuis plusieurs années: le Mody, personne ne sait vraiment comment il fonctionne. J'ai été diagnostiquée par hasard en 1992, et le spécialiste qui me suivait a mis plusieurs mois à identifier quel diabète j'avais (on m'a promis un passage à l'insuline à très court terme, puis à moyen terme, puis peut-être). Les professionnels de santé à qui j'en ai parlé ignoraient pour la plupart ce type de diabète, et il fallait que je leur explique. (!!!) Ma diabétologue actuelle, à qui je fais confiance, m'a dit en substance: ça n'évoluera pas, ou peu, et vous n'avez pas la main sur vos glycémies. Seuls l'alimentation et le sport peuvent stabiliser l'ensemble, car on ne peut pas prévoir, même d'un repas à l'autre, comment votre pancréas va travailler. Un traitement plus fort vous mettra en hypoglycémie, donc on laisse ça comme ça, et vous m'appelez si ça se dégrade. Mon diabète et moi avons vécu en bonne intelligence pendant très longtemps: je mangeais ce que je voulais (bon, j'avoue, j'ai bien intégré les principes diététiques, qui correspondaient à mes goûts, et ne pas manger de sucres rapides ne me prive pas) et avais une activité physique régulière. Mais depuis quelques semaines, ce bel équilibre a disparu et je ne sais pas vraiment quoi faire, puisque je n'ai pas de moyen d'action. Trouver des gens compétents n'est pas toujours aisé, surtout quand on est loin des centres universitaires. En tout cas, merci à toutes de votre écoute et de vos conseils!
  16. Je pense qu'il faut que je mette sérieusement à jour mes connaissances sur le sujet. J'avais vu une diététicienne, mais c'était il y a trente ans… En fait j'ai dans l'idée que du moment que les glucides sont des sucres lents, comme dans le repas dont je parlais, ça n'a pas la même incidence que si je buvais des jus de fruits par exemple. Je sais bien qu'il n'y a que des glucides, mais comme ce ne sont pas des sucres je me dis que c'est moins grave. C'est là que je dois faire erreur. Mais je ne suis pas portée sur la viande et je n'aime pas trop l'idée d'en manger quoi qu'il arrive. Bref, va falloir que j'en discute avec des gens compétents je crois
  17. Bonjour, J'aurai 44 ans dans quelques mois. Les infections ne jouent pas sur ma glycémie, en temps normal: j'ai eu le Covid l'an passé et ça n'a rien changé. Je ne suis pas enceinte, n'ai plus de contraception depuis un an et demi, et je suis en aussi bonne forme qu'on peut l'être en ce moment. Par contre je faisais avant le(s) confinement(s) six à sept heures de sport par semaine, plus au moins une demie heure de marche par jour. Comme tout est fermé, je n'arrive pas à conserver le même niveau d'activité physique et je pense que ça joue. Du coup j'en veux à la terre entière de m'empêcher de maintenir une glycémie équilibrée En ce moment mes résultats sont très fluctuants: hier tout était normal (1,10 en post-prandial), mais il y a trois jours j'étais à 1,80 en ayant mangé moins, et moins gras. Il doit y avoir des mécanismes que je n'identifie pas.
  18. Bonjour LucieB, J'en ai discuté incidemment il y a deux ans avec ma diabétologue, qui m'a dit qu'effectivement il y avait une relation entre la stabilité glycémique et la consommation de protéines, mais elle ne m'a pas vraiment donné de conseils - mon diabète était bien équilibré à cette période. J'ai ma prise de sang trimestrielle dans quelques semaines, qui confirmera sans doute ce que je pressens (moins bon équilibre): après avoir vu ma généraliste je contacterai une diététicienne pour faire un point. J'habite dans quelque chose qui s'apparente à un désert médical, donc ça me promet de grands moments!
  19. En fait, ça fait des années que je remarque une différence… Quand je fais des gros repas, bien gras et bien carnés, ma glycémie est parfaite. La semaine dernière, souper simple: soupe à l'oignon, galette aux pommes de terre, une datte en dessert. Et hop, 2,75g en post-prandial. Je n'ai pas la main sur ma glycémie: je n'ai même pas d'hypoglycémiants oraux qui stimulent la production d'insuline, juste de la metformine. En fait ça m'ennuie un peu de devoir manger de la viande à chaque repas pour garder une glycémie stable. Comme je suis d'un naturel flippé, j'ai peur que trop de protéines animales ne m'abîment les reins. Mais c'est assez peu rationnel j'en conviens. Merci de ton retour en tout cas. Je pense consulter une nutritionniste pour discuter du sujet, après mon prochain bilan sanguin.
  20. Je ne suis pas végétarienne, mais pas fan de protéines animales; manger de la viande une à deux fois par semaines me suffit amplement. Or j'ai l'impression, ce qui a été confirmé par ma diabétologue lors d'une discussion informelle, que les protéines permettent de "lisser" la glycémie et de limiter son augmentation. Je sais bien qu'il y a des protéines ailleurs que dans la viande, mais les légumineuses et céréales sont sources non négligeables de glucides. Ma question est donc simple: peut-on conjuguer un régime végétarien, totalement ou fréquemment, avec une bonne maîtrise de ses glycémies? Je ne suis pas sous insuline et n'ai aucun moyen de contrôler finement ladite glycémie. Merci de vos lumières!
  21. Bonjour, J'ai un Mody 2 depuis une trentaine d'années, stable jusque là: mes glycémies tournaient autour d'1,10g à jeun, 1g avant les repas et 1,20-1,50 en post-prandial. J'ai le même traitement depuis des années: 3 Metformine 1000 par jour, alimentation équilibrée et sport régulier. Mes HbA1c se maintiennent autour de 6,5%. Et depuis quelques semaines, peut-être un mois, l'ensemble est devenu assez anarchique: après le repas je peux avoir 2,50g ou bien 0,80g... Je n'ai pas le début du commencement d'une explication. C'est peut-être dû à la baisse d'activité physique (merci le confinement et la fermeture des clubs)? A une insuffisance d'apport en protéines (j'ai tendance à manger très peu de viande)? Au vieillissement inéluctable? J'ai l'impression de n'avoir pas la main sur mon diabète, pas le contrôle de ma glycémie, et je n'aime pas ça. Je commence à me priver de pain, de fruits, à sucer des cailloux pour "limiter la casse", mais je ne suis pas convaincue du tout que ce soit la solution. Je vais bien entendu en parler à ma généraliste quand je la verrai pour le bilan trimestriel, je revois ma diabéto en juin, mais en attendant j'aimerais bien votre avis - ou juste du soutien moral, parce que je me sens un peu flippée pour tout dire.
  22. Bonjour, On m'a découvert par hasard un Mody 2 lorsque j'avais quinze ans. Lui et moi avons vécu en bonne intelligence pendant une trentaine d'années, et subitement, il y a quelques semaines, il s'est réveillé. Je suis ici pour trouver des personnes avec qui discuter gestion de la glycémie et alimentation, entre pairs: ce ne sont pas des conseils médicaux mais des pistes et des retours d'expérience que j'aimerais. Donc merci d'avance!
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